Aller cueillir les renouées.

Situé à proximité du campus, les matériaux de l’atelier son collectés sur site avec les participant.es

Cette marche exploratoire nous permet de questionner la problématique à partir du territoire et de prendre contact avec des réalités de population de la plante. Cette présence sur le terrain nous permet aussi de rencontrer d’éventuel.les acteur.ices et échanger avec eux.

Une proposition en design relationnel inter-espèces.

S’interroger sur les formes d’intervention et de mise en espace avec le vivant, des formes de brutalités du principe de « faire sa place ». Ce principe d’apprentissage par le faire questionne l’étudiant.e depuis une expérience sensible, une manière pour lui/elle de faire connaissance avec les plantes par la pratique de leur milieu.

Explorer des modes de construction.

Nous explorons les possibilités matérielles de construction avec les renouées du Japon à partir d’un principe sommaire de mise en fagot, de manière à constituer les modules du radeau. Cette construction symbolise un espace scénique, à partir duquel se rejouent les controverses mises à jour par les participant.es.

représenter des points de vue controversés.

 A partir d’une courte description d’un personnage de fiction et de documents associés, les participant.es sont amenés à enrichir ce caractère autrements appelés les passagèr.es et a produire son discours dans le radeau des vagabondes. Il leur est proposé pour faciliter la construction et l’incarnation de ce personnage d’inventer un accessoire en renouée.